Un cariste enchaine différentes taches au fil d’une journée :
– déplacement de marchandise ;
– chargement et déchargement ;
– approvisionnement ;
– stockage et déstockage ;
– enlèvement de charges ;
– mise en place d’inventaires.
Il doit respecter les procédures propres à l’entreprise et au secteur dans lequel il travaille. Il devra parfois utiliser des systèmes informatiques pour réaliser son travail.
Il utilise bien sur des engins motorisés ou non pour faciliter son travail : palan, chariot, gerbeur, transpalette, etc.
De nombreux postes peuvent être occupés sans formation ou expérience spécifique. Cependant, une formation en interne sera souvent assurée, notamment pour :
– utiliser l’outil informatique ;
– connaître les procédures, particulièrement celles en lien avec la sécurité ;
– apprendre à manœuvrer des engins, notamment ceux motorisés.
Il est possible de se former durant ses études. Pour cela, il faut suivre l’une des formations suivantes :
– CAP Agent d’entreposage et messagerie ;
– CAP Opérateur logistique ;
– BEP Logistique et transport ;
– Bac pro transport.
Si vous n’avez pas suivi une de ces formations lorsque vous étiez étudiant, vous pouvez opter pour la formation continue. Vous pouvez passer un titre professionnel de niveau 3 de cariste d’entrepôt.
Vous devez en général également obtenir des certificats d’aptitude à la conduite d’engins de sécurité (CACES) : chariots, tracteurs, transpalettes, gerbeurs, etc. FLEXIM Formation propose des formations chaque mois.
Par rapport à d’autres métiers de la logistique, le métier de cariste est souvent plus varié. Vous n’avez, par exemple, pas qu’à préparer des commandes, comme un préparateur de commande. Vous effectuez différentes taches variées pour remplir vos missions.
Sinon, les autres avantages sont ceux que l’on retrouve dans les métiers très prisés :
– une forte demande des entreprises, perpétuellement en recherche de candidats pour leurs postes ;
– la possibilité d’avoir un CDI dans un secteur moins concurrentiel ;
– le choix du lieu de travail : la demande est importante sur tout le territoire du Gers
Bien que la manutention soit de plus en plus simplifiée et mécanisée, le métier de cariste reste un métier physique. Il demande de la force et de l’endurance, ainsi que de la concentration. Il est évident que ce métier est plus fatigant que celui d’un employé de bureau. Pour certaines personnes, c’est aussi un avantage, car ainsi les journées passent plus vite.
Les autres inconvénients sont :
– le salaire au commencement ;
– la nécessité de travailler parfois de nuit ou les week-ends.
Votre moteur de recherche préféré sera votre meilleur allié. Si vous cherchez un emploi de cariste à Auch, tapez par exemple “offre emploi cariste Auch”. Vous verrez probablement apparaître des offres d’emploi sur l’un des sites suivants :
– Pôle emploi ;
– Linkedin ;
– Indeed ;
– le site d’une agence d’intérim, comme celle de Flexim intérim.
Si vous n’avez pas envie d’effectuer par vous-même ces recherches, passez par un intermédiaire ! Par exemple, si vous souhaitez travailler aux alentours de Condom ou Fleurance, contactez l’agence Flexim Intérim présente dans ces villes !
Comme beaucoup de métiers qui peuvent être effectués sans diplôme, le salaire de base d’un cariste en début carrière est au Smic. C’est-à-dire environ 1 500 euros bruts mensuels. À ce tarif de base peuvent s’ajouter quelques dizaines ou centaines d’euros de primes selon la nature du contrat et les horaires de travail.
Un cariste peut cependant bien évoluer en interne en restant plusieurs années dans une même entreprise. Il pourra devenir chef d’équipe, chef magasinier ou encore responsable d’entrepôt. Son salaire pourra alors dépasser les 2 000 euros nets par mois.
Oui ! Comme dans tous les départements de France. Tapez par exemple “cariste Gimont” ou “cariste Fleurance” pour vous en assurer. Vous verrez apparaître des offres dans ces localités. Vous pouvez aussi simplement consulter le moteur de recherche internet de FLEXIM intérim.
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